Courrier

Je suis très reconnaissant d’avoir Le Liahona. Il est agréable à lire et les articles qu’il contient illustrent les qualités enseignées par l’Évangile de Jésus-Christ. J’espère que tous les saints des derniers jours se procureront ce merveilleux guide. J’ai particulièrement apprécié le message de la Première Présidence intitulé « Piliers de vérité », dans le numéro de mai 2002. Nous avons la vérité et nous devons exprimer la reconnaissance que nous éprouvons pour cela tous les jours.

Eduardo Arroyo Teherán, paroisse de Paraíso, pieu de Paraíso, Barranquilla (Colombie)

Avant que je sois membre de l’Église, la femme que j’ai ensuite épousée m’a montré un numéro du Liahana , et j’ai trouvé que ce magazine avait quelque chose de spécial. Avant de me faire baptiser, lorsque j’ai commencé à étudier l’Évangile, j’ai reçu la confirmation spirituelle qu’il est vrai. J’ai ressenti les paisibles murmures du Saint-Esprit qui m’ont incité avec douceur à accepter la vérité.

Je suis reconnaissant des efforts de ma femme et j’ai également de la gratitude envers nos frères et sœurs inspirés qui écrivent de si beaux articles. C’est un plaisir de recevoir Le Liahona . Je ne peux pas arrêter de lire tant que je ne suis pas arrivé à la fin

Alfredo José Cánepa, branche de Ytororo, pieu de Fernando de la Mora Sud (Paraguay)

Le Liahona m’a beaucoup aidée dans ma vie personnelle. La liste d’idées intitulée « Résister à la tentation », contenue dans le numéro de novembre 2001, m’a beaucoup touchée. Pendant ma mission, cette liste m’a aidée à résister aux tentations. J’espère qu’elle a également aidé d’autres personnes.

Shelly T. Kollah, mission de Port Harcourt (Nigeria)

À l’école, nous étudions différentes religions. Mon professeur m’a demandé, ainsi qu’à mon amie Andressa, qui est aussi membre de l’Église, de parler de Jésus-Christ.

Lorsque nous avons commencé notre exposé, beaucoup d’élèves se sont moqués de nous mais nous ne nous sommes pas laissé décourager. Nous avons parlé de sa vie, depuis sa naissance jusqu’à sa résurrection. Une fois notre exposé terminé, beaucoup d’élèves ont ri et ont fait des remarques vexantes. Cela m’a beaucoup attristée. J’ai pensé aux missionnaires à qui on ferme la porte au nez et je me suis rendu compte que j’étais en train de faire une expérience semblable. J’ai témoigné de Jésus-Christ en disant qu’il avait donné sa vie et avait souffert pour nos péchés.

À la fin, beaucoup de professeurs, y compris le nôtre, nous ont remerciées de leur avoir appris certaines choses.

Cléa de Souza Lira, quatorze ans, paroisse de Potengi, pieu de Potengi, Natal (Brésil)