2005
Courrier
mars 2005


Courrier

Une application universelle

J’apprécie beaucoup Le Liahona et l’application universelle de ses articles. Je suis enseignant et bien qu’il me soit impossible de parler de la religion, j’ai pu utiliser plusieurs articles dans mon travail.

« L’abeille sans sagesse », la parabole de James E. Talmage publiée dans le numéro de février 2003, m’a permis de montrer à mes élèves que les adultes qui s’efforcent de les guider le font pour les aider, pas pour limiter leur liberté. Les leçons que j’ai enseignées à l’aide des paraboles et des articles du Liahona touchent le cœur de mes élèves.

Aleksei Dobrovolskyy, branche de Mikolaiv Tsentralny, district Tsentralny d’Odessa (Ukraine)

Libéré de lourds fardeaux

J’ai beaucoup aimé le discours de Richard G. Scott « Se libérer de lourds fardeaux », dans Le Liahona de novembre 2002. Je souffrais, comme Alma, à cause de la transgression, et cet article m’a aidé à prendre la décision de me confesser à mon évêque et à demander le pardon du Seigneur. Ensuite, comme Alma, j’ai été rempli d’une joie aussi extrême que lété ma souffrance (voir Alma 36:16-21).

Anonyme

Soirée familiale pour une personne

L’article de Gordon B. Hinckley « La soirée familiale », paru dans Le Liahona de mars 2003 m’a amené à me rendre compte que bien que je sois le seul de ma famille à être membre de l’Église, je peux quand même tenir la soirée familiale. J’ai commencé à réservé, chaque semaine, un moment précis pour étudier les Écritures, pour découvrir les enseignements des prophètes modernes par l’intermédiaire du Liahona, pour chanter des cantiques et pour méditer sur la manière d’être un meilleur fils de Dieu, et de mes parents terrestres. Grâce au message du président Hinckley, j’ai amélioré ma vie.

Sergio Adrián López, paroisse de Solis Pizarro, pieu ouest de Salta (Argentine)

Faire grandir la foi

Le Liahona a changé ma vie. Lorsque je médite sur ses articles inspirés, ma foi grandit, mon amour pour notre Père céleste est fortifié, et je suis motivée pour persévérer jusqu’à la fin.

Alejandra Barralaga, branche de Jardines del Valle, pieu de San Pedro Sula (Honduras)